La formation tout au long de la vie, le carburant de tous les slasheurs Thact

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Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien” – Socrate

 

Socrate est un philosophe grec du Vᵉ siècle av. J.-C.

Quel lien entre formation et slasheurs ? L’homme se pose des questions et tente d’y apporter des réponses tout au long de sa vie. D’après Socrate, reconnaitre son ignorance face au monde est l’attitude indispensable à adopter face à la quête du savoir.

En ce sens Socrate s’adresse autant aux savants qui croient posséder un savoir qu’aux ignorants qui nient qu’il leur manque des éléments. Ces croyances et convictions façonnent notre perception du monde, lorsqu’on est persuadé de savoir on quitte une posture de recherche.

Cette position d’apprenant, demande beaucoup d’énergie, et est mal reconnu socialement.

“je ne sais pas” = “je ne suis pas un expert” = “je n’existe pas professionnellement”

Tous les slasheurs connaissent bien ce sentiment vis à vis de la formation. Ces changements récurrents les ont très souvent amené à se retrouver dans la posture d’apprenant. Une posture qu’ils ont expérimenté avec plus ou moins de bienveillance en retour par leurs entourages professionnels.

Mais, par son expérience et ses formations très régulières, si cette maxime de Socrate est assimilée, les slashers ont dès lors un moyen de lier toutes les compétences acquises et d’en acquérir de nouvelles de façon beaucoup plus rapide et plus sereine.

“L’inaction sape la vigueur de l’esprit.” – Léonard de Vinci

 

Léonard de Vinci, 1er des slasheurs, né le 15 avril 1452, est un peintre italien et un homme d’esprit universel

“Le fer se rouille, faute de s’en servir, l’eau stagnante perd de sa pureté et se glace par le froid. De même, l’inaction sape la vigueur de l’esprit”. Cette citation de Léonard de Vinci représente particulièrement bien l’atout N°1 du slasheur : sa capacité d’adaptation / d’apprentissage.

Les études en neuroscience récemment publiées dans la revue scientifique “Nature” démontrent qu’il y a deux éléments qui détruisent les neurones. Lors de l’analyse des cerveaux de souris dans un environnement enrichi d’activités stimulantes, complexes et diversifiées, on a pu constater une multiplication des synapses et la création de nouveaux réseaux de neurones.

Diverses études ont montré les bénéfices d’une activité qui confronte à la nouveauté, à l’inattendu où il faut utiliser ses neurones pour improviser. C’est bien de jouer au échec, mais il faut savoir changer d’adversaire. Bref, éviter la routine. Stimuler les capacités cérébrales aide à maintenir un bon état des réseaux neuronaux et surtout des synapses.

Par ailleurs, une bonne hygiène de vie, la suppression du stress chronique et du mauvais stress évitent l’inflammation chroniques des neurones. C’est pourquoi un alignement avec sa Raison d’Être individuel est un élément particulièrement important pour une carrière épanouie. De la même façon, des activités routinières, sans pouvoir dépasser d’une fiche de poste trop restrictive signeront une dégradation inéluctable des capacités cognitives.

En synthèse Emilie Wapnick identifie les 5 super-pouvoir du slasheur dans son ouvrage “How to be everything”. Parmi ces super-pouvoirs, le #2 (Formation Rapide) et le #3 (Adaptabilité) sont particulièrement liés à la posture d’un slasheur vis à vis de ses processus de formation et de sa vivacité d’esprit. Nous ne parlons pas ici de potentiel intellectuel ou émotionnel hors norme, non ! Mais seulement d’une posture face à l’apprentissage permettant une humilité, une curiosité et une efficacité naturelle dans le processus de formation des slasheurs.

THACT Group, comme support à l’apprentissage, tout au long de la vie des slasheurs

Si tout commence normalement par la scolarité à l’école. Puis par le temps de l’orientation, du choix du métier ( et non des métiers ?!) et de la formation qui y mène. L’acquisition de nouvelles compétences liées à son activité démarre dès le premier emploi et se poursuit tout au long de la vie.

Tout cela d’autant plus intensément pour les métiers de la main (artisans) ou du cœur (ESS). Métiers pour lesquels les activités ne passent pas seulement par de la connaissance, mais surtout par la pratique et l’expérience. C’est d’ailleurs notre volonté d’immédiateté, dans l’accélération de nos sociétés digitalisées, qui a tendance à fragiliser ces métiers pourtant indispensable pour la résilience de nos économies et de nos territoires.

Et Thact dans tout cela ? Et bien, de la nécessaire humilité face à la quête du savoir, jusqu’au besoin de diversité et d’apprentissage, l’aventure Thact se devait de prendre part à cet ambitieux projet. Avec pour objectif de se donner les outils pour “Former et se former tout au long de la vie”.

L’opportunité d’accompagner tous nos talents slasheurs et managers.

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