Un engagement
pour un Impact positif
Découvrez notre tout premier rapport de Mission, qui constitue un témoignage concret de notre engagement envers nos valeurs et notre vision.
Ce rapport met en lumière nos accomplissements, en plus d’illustrer notre impact positif et notre approche de la durabilitĂ©. De plus, nous vous invitons Ă explorer ce document soigneusement Ă©laborĂ©, qui reflète notre transparence absolue et notre volontĂ© d’apporter une diffĂ©rence significative.
Une opportunitĂ© unique pour mieux comprendre notre engagement et notre contribution dans la rĂ©alisation d’un monde meilleur.

Notre Rapport de Mission N°1 est également disponible en PDF 👉🏼
Entreprise Ă mission - Pourquoi choisir ce statut ?
Les entreprises ne peuvent plus se contenter de montrer exclusivement leurs performances économiques comme prisme unique de lecture. Elles doivent s’appliquer à un effort supérieur, celui de publier leurs performances sociales et environnementales. La transparence doit guider chacune de nos actions. Nous nous efforçons à l’être, une ambition nécessaire pour qui veut faire preuve de résilience.
La résilience est un terme qui, ces dernières années, prend une place toute singulière dans nos conversations. Une résilience face à quoi ? Une résilience face à qui ?
La rĂ©silience, cette capacitĂ© Ă faire preuve de rebond, nous rappelle le concept de l’impermanence. Les Ă©difices que nous avons créés doivent se transformer pour rĂ©pondre aux enjeux du rĂ©chauffement climatique et ses effets. Les scientifiques nous apportent chaque annĂ©e les preuves tangibles de l’impact de l’Homme sur le climat. Les alarmes sonnent et nous devons trouver collectivement les solutions pour transformer nos impacts nĂ©gatifs en positifs. Nous saisissons cet enjeu comme un fabuleux moyen de se rĂ©approprier les modèles dans lesquels nous nous mouvons. C’est une nĂ©cessitĂ© pour nos enfants, pour nos descendants de pouvoir vivre dans un monde qui n’est pas dictĂ© par la seule valeur de l’argent mais aussi par des considĂ©rations environnementales et considĂ©rations sociales fortes.
Les activitĂ©s de l’homme ont façonnĂ© le monde dans lequel nous nous trouvons. Les activitĂ©s anthropiques n’ont plus de frontières, traversent les ocĂ©ans, traversent les rĂ©gions, traversent et survolent le globe. Cependant, dans cet accroissement des activitĂ©s humaines, dans son inexorable quĂŞte de la recherche du profit, l’Homme se met lui et l’ensemble des espèces de la terre en danger. Cette capacitĂ© de l’humain Ă transformer le système terrestre se nomme l’anthropocène.
Cette transformation prend plusieurs formes par cause de l’activitĂ© humaine : modification de la composition de l’atmosphère en provoquant le rĂ©chauffement climatique, Ă©rosion de la biodiversitĂ©, disparition d’espèces animales et vĂ©gĂ©tales, microplastique dans les ocĂ©ans pour ne citer qu’elles.Â
Les effets actuels du réchauffement climatique (+1,09°C en 2021) touchent les populations et les écosystèmes :
- Contraction de la disponibilité de ressources en eau et en nourriture (notamment en Afrique, Asie, et territoires insulaires) ;
- Impact sanitaire sur toutes les régions du monde (nouvelles maladies, développement du choléra), hausse du stress thermique, altération de la qualité de l’air… ;
- Erosion de de la biodiversité : baisse de moitié des aires de répartition des espèces animales et végétales.
Continuer vers une voie qui fait abstraction de la résilience fera prospérer la hausse de la fréquence d’événements climatiques extrêmes.
Rapport du GIEC – La fin justifie de nouveaux moyens
Les politiques actuelles ouvrent la voie à un réchauffement de 3,2° C
Limiter le réchauffement climatique à 1,5°C d’ici 2030 « impliquent de rapides, profondes et la plupart du temps immédiates réductions de gaz à effet de serre dans tous le secteurs ».
Dans le secteur de la production d’énergie (34%) la consommation de charbon, pétrole et gaz doit diminuer respectivement de 95%, 60% et 45% en 2050 par rapport à 2019
- Le secteur de la production d’énergie (34% des émissions de gaz à effet de serre (GES)) : la consommation de charbon, pétrole et gaz doit diminuer respectivement de 95%, 60% et 45% en 2050 par rapport à 2019.
- Le secteur de l’industrie (24% des émissions de GES) : les chaînes de valeur doivent être utilisées plus efficacement, les matériaux réutilisés et recyclés, les déchets diminuer.
- Le secteur de l’agriculture, les forĂŞts et l’usage des terres (22% des Ă©missions GES) : les forĂŞts, les marais cĂ´tiers, les tourbières, les savanes et prairies doivent ĂŞtre prĂ©servĂ©s, mieux gĂ©rĂ©s et ĂŞtre restaurĂ©s.
- Le secteur des transports (15% des émissions de GES) : nous devons réduire la demande de transports, endiguer l’étalement urbain, favoriser les modes actifs (vélo, marche) et transports urbains, préférer des véhicules à moteur électrique, et sélectionner du biocarburant.
- Le secteur du bâtiment (6% des émissions de GES) : réduire ou changer notre consommation énergétique et de matériaux, développer l’électrification et investir des espaces verts en ville pour capter et stocker le carbone.
L’industrie du futur 4.0 vers l'industrie responsable
L’industrie se transforme grâce à la présence de nouveaux acteurs, de nouveaux produits développés qui œuvrent à de nouvelles perspectives. En effet, l’essor de ces nouvelles solutions permettent des productions plus flexibles, augmentent la productivité, développent de tous nouveaux modèles économiques.
L’Internet Of Things (IoT) est une des sources de cette industrie 4.0. Cette technologie est omniprésente dans nos vies. Les réseaux et objets communiquent par l’intermédiaire de terminaux intégrés. La somme de ces informations alimente le Big Data, les données sont stockées et analysées sur des serveurs. La résultante de cette opération par des procédés de Machine Learning et de l’Intelligence Artificielle (IA) contribuent à produire avec une optimisation parfaite avec les besoins exprimés. L’intelligence artificielle et son pendant le Big Data contribuent à la maintenance prédictive de certains équipements et de dysfonctionnement qui pourraient survenir. L’IA agit à développer différents scénarios en fonction des contraintes et objectifs exprimés. Elle revêt de nombreux avantages qui concourent, par des facteurs connus et également absents, à une compréhension fine des process.
L’industrie 4.0 trouve sa source aussi dans l’automatisation. Il s’agit de logiciels de gestion qui aident à la mise en place instantanée de tâches répétitives, sous réserve que la mise en application nécessite l’analyse d’une masse de données conséquentes.
Au-delà de ces futurs avantages concurrentiels, cette industrie 4.0 doit se renouveler vers une industrie Responsable pour devenir un fabuleux moyen de diminuer les inputs (sobriété / efficience) mais également diminuer l’empreinte environnementale de ses activités. Nous voulons accompagner les acteurs de nos territoires vers ce nouveau paradigme pour rendre l’industrie et la réindustrialisation de la France plus responsable.
Et le futur du monde du travail ?
Les collaborateurs et les candidats développent leur perception en matière de responsabilités sociétales. En cause, les nombreux rapports scientifiques ont porté à nos yeux la situation d’urgence climatique dans laquelle nous sommes actuellement, le plus grand défi auquel nous ayons été confrontés. Les individus ont conscience du rôle des activités de l’homme sur les écosystèmes. Ce phénomène s’illustre chez les jeunes générations Y et particulièrement la génération Z qui veulent que leurs valeurs personnelles se confondent avec celles de leur entreprise.
Selon une étude de l’EDHEC Business School*, 61% des jeunes (génération Z) pensent que les entreprises sont amenées à beaucoup se transformer et leurs principaux souhaits de transformation pour les entreprises sont :
- Pour 57%, les relations au travail : un management bienveillant et le respect des personnes
- Pour 46%, le respect des principes du développement durable et de la RSE.
Considérant ces chiffres, attirer les talents actuels du marché et ceux à venir doit passer nécessairement par des changements, plus ou moins substantiels, chez les entreprises pour répondre aux besoins exprimés par les jeunes générations. Le modèle de la productivité à tout prix en délaissant l’humain et l’environnement sera mortifère pour les entreprises qui résistent à ces injonctions.
Le respect des personnes doit être une valeur fondamentale dans les communautés organisationnelles. Les évolutions du travail et son mouvement de digitalisation nécessite une adaptation des entreprises pour pouvoir continuer de fédérer. Il faut toucher les collaborateurs avec des valeurs fortes et que celles-ci soient prégnantes. Les politiques doivent être ambitieuses et à la portée des collaborateurs, ils doivent s’en emparer.
Consolider cette image de marque respectueuse de l’environnement et de l’Homme permet d’unir les collaborateurs et attirer de nouveaux talents sensibles à ces considérations. Dans son Baromètre 2020, le MEDEF indique que 79% des salariés qui travaillent dans une entreprise avec un service RSE se voient toujours travailler dans leur entreprise dans 3 ans contre seulement 58% pour les entreprises qui n’en n’ont pas. Affecter de nouvelles compétences en matière de RSE à son entreprise est désormais un indispensable, pour qui veut animer son entreprise en construisant du sens. Cette construction du sens passe par la capacité de l’entreprise à concrétiser des actions à impact, c’est une nécessité.
Les origines du statut d'Entreprise Ă Mission
Le droit français se mue. La loi pacte, promulguée en 2019, introduit la qualité de société à mission. Un apport majeur qui permet d’appliquer de nouvelles dimensions aux statuts de l’entreprise avec la prise en compte d’enjeux sociaux et environnementaux et de formuler une raison d’être définissant le projet collectif de long terme. Un changement de paradigme qui promeut un profit et une croissance comme des outils au service de l’exécution de la mission.
Les perspectives s’étendent pour les entreprises nationales, un vecteur pour découvrir de nouvelles opportunités mais aussi de faire preuve d’humilité. Nous ne pouvons pas chercher la croissance à tout prix dans un monde fini pour faire référence au Rapport Meadows-Randers (1972) commandé par le Club de Rome. Cette opportunité que nous offre le législateur doit être saisi, c’est un acte militant que de faire paraître ses résolutions et agir plus vertueusement.

DĂ©couvrez notre raison d’ĂŞtre et plongez dans l’essence mĂŞme de notre entreprise. Chez Thact Group, nous croyons fermement Ă l’importance d’avoir une mission claire et inspirante. Notre page dĂ©diĂ©e Ă notre raison d’ĂŞtre vous permettra de comprendre notre vision, nos valeurs et l’impact que nous souhaitons crĂ©er dans le monde.
DĂ©couvrez comment notre entreprise, Thact Group, s’inscrit dans le mouvement des sociĂ©tĂ©s Ă mission. Pour en savoir plus sur notre dĂ©marche, notre rapport de mission et notre engagement envers un impact positif, visitez notre profil sur l’Observatoire des SociĂ©tĂ©s Ă Mission.